DU SAVOIR SANS OUBLI


DU SAVOIR SANS OUBLI

  © PATINET THIERRI ERIC

  

Épure d’Être Humain…
 
 

Dans la solitude diamantaire des hymnes azuréens, ce Verbe, parole même de l’hommage, nef des fleuves au parcours d’Océans de la densité de l’Être en leur chemin, nous fûmes  nombre sur ses quais aux voiles vives de serments aux crispations de la création comme en sa donation au sens ultime d’une renaissance, mais fût-elle écoute au large de la ténacité de nos chants qui forcent nos ouvrages au grand vent de la sphère par l’étoile Solaire, par la dimension des âges en avance de ce temps funèbre et incertain? Et notre question, aux rides alanguies des fastes d’un désert, où propos, se tiennent des chevaliers au corps de lumière, sommes-nous déjà les pentes d’un sillon ou bien au cœur même de la nécessité ? Flamboiement écru de la destinée des heures, où racine se maintenant dans le déclin des heures ? Nous en parlerons encore sans jamais taire ce rythme qui signe avant terme les hautes routes foisonnantes de l’épure d’Être Humain…




Table

DU SAVOIR SANS OUBLI
 
 
 
Le temps est un désert
Faut-il qu’il m’en souvienne
Qu’aux cils nuls pleurs ne voilent
Voici donc l’affamée
D’une Pensée funèbre
Dans ce chemin terrible
Que le Poète désigna aux routes sombres
Infécondité du règne
Aurore
De combien de chants
L’épreuve de la Terre
Fût-il dit
Mais que reste-t-il de l’Aventure ?
Réponse, fut-il dit
Noël et son message
An neuf
L’initiation suprême
Mais que le regard nous parle
Mais qu’attend donc ce Capitaine ?
Et dans la connaissance
L’Univers toute demeure du Poète
Dans la question l’Univers lui-même
Du Savoir sans oubli
La Destinée
Ainsi, tel, le Corps
Que l’arche en son désir
Épure d’Être Humain
De l’heure Solaire
L’instance des désirs
Et des Îles de Midi, ses fêtes d’alors
Aux espaces de l’Univers
Floralies de l’Amour
Vierges édulcorées
Aux vagues de l’écume
Ambre nu de la Beauté
D’un éblouissant message
L’Enfant de notre règne
Osmose d’Univers
Ainsi, comme je vous aime
Chantais-je cet hymne
D’Absolu le parchemin
C’était un Univers magique
De fiers guerriers
Qu’un cristal l’aube
Message de la puissante allégorie
Nous fûmes en son chemin
La superbe autorité du terme
Royale arborescence par les temps
De la force d’Être Renouveau
Le cycle Souverain



Le Pecq
Le 03/05/1980
Le 31/10/1983
Le 01/08/2004

2018
Vincent Thierry


RETOUR

Facebook