FRACTALES
extrait
FRACTALES
© 2020 PATINET THIERRI ERIC
I
Au Chant Vivant, dans l’espérance immaculée, aux passementeries drapées de vierges solstices, s’en viennent, de plus noble harmonie,
Les sérails de la Vie et de ses œuvres, où, passants, nous devenons, sommes et deviendrons dans la nuptialité exquise,
De l’Absolu et ses écrins, dans ce Verbe fascinant de la tendre éloquence de l’Amour souverain dont les rites sont pérennes demeures.
Des souffles de l’Océan aux mantisses sacrées, nous allons les alluvions, aux incarnations vivaces de flamboiements,
Délimitant, des pléiades, les fruits naguère que l’horizon enseigne de vertus comme d’honorifiques exigences,
Par la mesure et ses nacres opalines circonstanciées et nébuleuses, agençant les ferments des ivoires merveilleux et purs.
Vaste navigation éclose par les Îles sous le vent, où les prières de grand nom éblouissent les florales perceptions,
Dans des gerbes d’écumes hâlant de mâtures les épices expressives de couleurs, aux danses frénétiques,
Aux charmes impromptus, que les ascensions désignent parturitions d’une abnégation volontaire et sûre.
Élevant de festifs agencements, ici, là, plus loin, dans des fêtes enivrant les sens et la moiteur des chairs ourlées,
De doux propos comme de chaleureuses attentions, par les mannes dissipées des oasis précieuses et couronnées,
Revêtant des exhalaisons profondes pour honorer les cycles des temporalités comme des espaces souverains.
Vêtures de calices et d’ornements divins aux effusions de joies et de serments, de piété et de tendresse,
Acheminées dans le vertige des sens épousés, livrant à la moisson leurs ébats chamarrés de couleurs et de souffles,
Dont les fruits parlent les lendemains à vivre, par la fenaison des aubades comme des hymnes incarnant la beauté.
Sylve de règne aux passementeries de schistes alanguis, aux nénuphars irisés destinant des eaux limpides,
Aux carènes en partance vers les astres sereins et leurs éventails prononcés, où les attraits sont puissances,
D’une grandeur azurée, aux béatitudes en nombre, où étincellent des rimes sans absence et des motets de bénédictions.
Grimoires des œuvres hâlant, de leur puisatière communion, les aubes propices et novices, parfumées,
De ces senteurs de quartz et de saphir, illuminant les citadelles ancestrales de ramées aux chrysalides diurnes,
Assignant des ruptures aux anachronismes comme aux dérives, dont les poussières sont de rêveries adulées.
Gages de la prospérité ne se lassant de ses aventures dans cette réalité où s’incarnent, avec méthode, et frugalité,
Les auspices de la lumineuse action permettant d’évincer les rires oublieux comme les verbes sans raison,
Afin d’idéaliser, et les principes, et les ingénuités, de la renommée, évaluant les précipices comme les tourbillons en sa détermination.
De heaume les sillons, que les mousses bleuies génèrent par les signes de l’histoire aux membranes légères,
Ouatées de songes, aux portiques intenses, alimentant l’union des croyances dans de diaphanes opérations,
Où se lient et se relient les enchaînements les plus singuliers, comme les plus espérés, par les sphères émergées.
Dans le cil d’un répons, de gravures fidèles aux marches de corail, au parterre de marbre, et aux prédilections enseignées,
Où s’unissent les marques de nos atours, dans des réflexions que les ondes répercutent par l’infini et ses sortilèges,
Pour affiner le sort d’un Empire et de sa gloire, levant son frais visage vers la couronne frontale de l’éloquence affirmée.
De l’Absolu et ses écrins, dans ce Verbe fascinant de la tendre éloquence de l’Amour souverain dont les rites sont pérennes demeures.
Des souffles de l’Océan aux mantisses sacrées, nous allons les alluvions, aux incarnations vivaces de flamboiements,
Délimitant, des pléiades, les fruits naguère que l’horizon enseigne de vertus comme d’honorifiques exigences,
Par la mesure et ses nacres opalines circonstanciées et nébuleuses, agençant les ferments des ivoires merveilleux et purs.
Vaste navigation éclose par les Îles sous le vent, où les prières de grand nom éblouissent les florales perceptions,
Dans des gerbes d’écumes hâlant de mâtures les épices expressives de couleurs, aux danses frénétiques,
Aux charmes impromptus, que les ascensions désignent parturitions d’une abnégation volontaire et sûre.
Élevant de festifs agencements, ici, là, plus loin, dans des fêtes enivrant les sens et la moiteur des chairs ourlées,
De doux propos comme de chaleureuses attentions, par les mannes dissipées des oasis précieuses et couronnées,
Revêtant des exhalaisons profondes pour honorer les cycles des temporalités comme des espaces souverains.
Vêtures de calices et d’ornements divins aux effusions de joies et de serments, de piété et de tendresse,
Acheminées dans le vertige des sens épousés, livrant à la moisson leurs ébats chamarrés de couleurs et de souffles,
Dont les fruits parlent les lendemains à vivre, par la fenaison des aubades comme des hymnes incarnant la beauté.
Sylve de règne aux passementeries de schistes alanguis, aux nénuphars irisés destinant des eaux limpides,
Aux carènes en partance vers les astres sereins et leurs éventails prononcés, où les attraits sont puissances,
D’une grandeur azurée, aux béatitudes en nombre, où étincellent des rimes sans absence et des motets de bénédictions.
Grimoires des œuvres hâlant, de leur puisatière communion, les aubes propices et novices, parfumées,
De ces senteurs de quartz et de saphir, illuminant les citadelles ancestrales de ramées aux chrysalides diurnes,
Assignant des ruptures aux anachronismes comme aux dérives, dont les poussières sont de rêveries adulées.
Gages de la prospérité ne se lassant de ses aventures dans cette réalité où s’incarnent, avec méthode, et frugalité,
Les auspices de la lumineuse action permettant d’évincer les rires oublieux comme les verbes sans raison,
Afin d’idéaliser, et les principes, et les ingénuités, de la renommée, évaluant les précipices comme les tourbillons en sa détermination.
De heaume les sillons, que les mousses bleuies génèrent par les signes de l’histoire aux membranes légères,
Ouatées de songes, aux portiques intenses, alimentant l’union des croyances dans de diaphanes opérations,
Où se lient et se relient les enchaînements les plus singuliers, comme les plus espérés, par les sphères émergées.
Dans le cil d’un répons, de gravures fidèles aux marches de corail, au parterre de marbre, et aux prédilections enseignées,
Où s’unissent les marques de nos atours, dans des réflexions que les ondes répercutent par l’infini et ses sortilèges,
Pour affiner le sort d’un Empire et de sa gloire, levant son frais visage vers la couronne frontale de l’éloquence affirmée.
Table
FRACTALES
4 - I Au Chant Vivant
38 - II Fête de toute réalité
72 - III Vêture de la préciosité
106 - IV Aux caresses de l’orbe
140 - V Clameur des cils
174 - VI Essence de la joie
208 - VII Florilège des adventices candeurs
242 - VIII Aux candides essaims des rêveries
276 - IX Où se dissipent les antiennes
310 - X Mémoire des silences
344 - XI Cristal aux facettes sans nombre
379 - Table
383 - Œuvres de Vincent Thierry
Texte 396 pages
A Royan 2020
Vincent Thierry