DE FLORALE JOUVENCE
Vincent Thierry
Voici de la lumière parfaite des Temples anachorètes, aux barques de dioptase, navigatrices de sérails, puisatières de ferveurs aux antiques prouesses, la nature officiée, sous l’onde solaire Impériale, tel l’inscrit ce rescrit dédié.
© 2022 PATINET THIERRI ERIC
Éditeur : © Patinet Thierri 2022
ISBN 978-2-87782-717-1
ISBN 978-2-87782-715-7
ISBN 978-2-87782-716-4
Chant poétique 306 pages 1 texte
Extrait
DE FLORALE JOUVENCE
Vincent Thierry
I
Voici des royaumes sous le vent
Vincent Thierry
I
Voici des royaumes sous le vent
Par l’aube d’un ciel d’été, courant les sentiers, le verbe pour demeure, les cils éveillés, à la tempérance comme aux éloquences, sont annonces de bonheur, et s’en viennent les alluvions et leurs savoureuses mélodies par les paysages azuréens, où se prêtent des sillons pour affiner les temples au lys marmoréen, dévisageant des nénuphars les expressions et les soupirs, que les bruyères accueillent avec un grand plaisir, tandis que l’abeille au miroir s’adule des prêtresses harmonies, ondulant de rimes les enseignements de toute vie, ne se délaissant sur les parterres insouciants de fresques mobiles, dont les tournures s’empressent, inutiles.
Passiflore des ambres en semis aux jacinthes naissant sous le soleil de feu, les pas d’embruns foulent les limons aux torsades légères, le halètement de la course ne s’interrompt sous les orées des chênes millénaires, transportés d’azur vers de cosmiques horizons, et la plainte du bourdon se répercute dans les collines, tandis que se pressent les chardonnerets pour se nourrir aux sentes familières.
La pluie est tombée dans la nuit, de vaporeuses brumes s’émacient sous la lumière galvanisée, plus loin sous le zénith, la flore danse sous le flux des autans chauds et chatoyants aux haubans parfumés d’iris et d’œillets couronnés, affluent des anses les marées des prononciations des flots devinés à leur tonalité répétitive, portée par une voix d’éden.
Puisatiers des rebelles contingences et de leurs hardis sourires sous l’allégresse les portiques s’ouvrent sur une journée nouvelle, où vaquent des tumultes, des sensations et des opiacés aux fragrances demandant la moisson des œuvres fières, de leurs songes, après la nuit profitable et ses prestidigitations de liserés de pensées adulatrices de permanences.
Des prairies les phrasés s’élèvent, se retiennent, et déjà s’exondent pour d’une joie évaporer le silence à la brume de l’instant, marquant des territoires à conquérir, et d’autres encore à générer par les désinences ne se ployant mais toujours se tressant, afin de naître le firmament des écumes et des houles adventices par les parures des hymnes, sur le levant des éléments.
Tandis que se distrait l’irréel et déjà s’incarne le réel dans ses jouvences appropriées aux ères d’incarnats volontaires, assidus des règnes en éveil, dans ces miels de saisons où le satin respire les ondées de galbes en mouvements de lianes cuivrées, aux rayons de volutes enchantés, assignant les miroitements de remparts en émois de considérations de signes assurés.
Témoins des voies propagées, s’annonçant et se félicitant dans cette architecture où se retrouvent les buccinateurs officiants, pour s’embraser du ciel et de ses lustres, dans la douceur unique des liserés, immortalisés par la chaleur suave, où s’irise, sans ornements inutiles, la beauté du porphyre des âges en fenaison devant les siècles qui disposent.
D’un regard les fluides évanescences proposées, enhardies ne contemplant mais vivant dans l’ardeur de leur maintien, les épices cendrées et les butins sans naufrages de l’esprit, qui tel l’aquilon s’épanche par les chaussées aux redoutes de contrastes armoriés,
Attendant des circonstances et des paroles les éventails de l’averse des granits en semence et de leurs fabuleux essors conjugués.
D’iris dans les vagues de genets où bruissent des ajoncs empanachés de perles de zéphyr, à l’accoutumance de grenats acclamés, où s’identifient et se parfondent les agencements des agréments et de leurs thuriféraires conditions amènes et symboliques, ne se dissipant de frimas, mais bien de l’adulation d’un rite aux visites parsemées franchissant le néant et ses invitations.
Afin d’œuvrer des terres fécondées par les huniers des vitalités exposées, édictées dans la félicité de gréements impérissables, par d’adroites conférences, où le langage trouve ses chemins de ronde, explore les mille et mille prouesses naturelles, par des articulations sans évasion dans les confusions des organdis, s’insérant dans la quiétude de toute renommée.
Passiflore des ambres en semis aux jacinthes naissant sous le soleil de feu, les pas d’embruns foulent les limons aux torsades légères, le halètement de la course ne s’interrompt sous les orées des chênes millénaires, transportés d’azur vers de cosmiques horizons, et la plainte du bourdon se répercute dans les collines, tandis que se pressent les chardonnerets pour se nourrir aux sentes familières.
La pluie est tombée dans la nuit, de vaporeuses brumes s’émacient sous la lumière galvanisée, plus loin sous le zénith, la flore danse sous le flux des autans chauds et chatoyants aux haubans parfumés d’iris et d’œillets couronnés, affluent des anses les marées des prononciations des flots devinés à leur tonalité répétitive, portée par une voix d’éden.
Puisatiers des rebelles contingences et de leurs hardis sourires sous l’allégresse les portiques s’ouvrent sur une journée nouvelle, où vaquent des tumultes, des sensations et des opiacés aux fragrances demandant la moisson des œuvres fières, de leurs songes, après la nuit profitable et ses prestidigitations de liserés de pensées adulatrices de permanences.
Des prairies les phrasés s’élèvent, se retiennent, et déjà s’exondent pour d’une joie évaporer le silence à la brume de l’instant, marquant des territoires à conquérir, et d’autres encore à générer par les désinences ne se ployant mais toujours se tressant, afin de naître le firmament des écumes et des houles adventices par les parures des hymnes, sur le levant des éléments.
Tandis que se distrait l’irréel et déjà s’incarne le réel dans ses jouvences appropriées aux ères d’incarnats volontaires, assidus des règnes en éveil, dans ces miels de saisons où le satin respire les ondées de galbes en mouvements de lianes cuivrées, aux rayons de volutes enchantés, assignant les miroitements de remparts en émois de considérations de signes assurés.
Témoins des voies propagées, s’annonçant et se félicitant dans cette architecture où se retrouvent les buccinateurs officiants, pour s’embraser du ciel et de ses lustres, dans la douceur unique des liserés, immortalisés par la chaleur suave, où s’irise, sans ornements inutiles, la beauté du porphyre des âges en fenaison devant les siècles qui disposent.
D’un regard les fluides évanescences proposées, enhardies ne contemplant mais vivant dans l’ardeur de leur maintien, les épices cendrées et les butins sans naufrages de l’esprit, qui tel l’aquilon s’épanche par les chaussées aux redoutes de contrastes armoriés,
Attendant des circonstances et des paroles les éventails de l’averse des granits en semence et de leurs fabuleux essors conjugués.
D’iris dans les vagues de genets où bruissent des ajoncs empanachés de perles de zéphyr, à l’accoutumance de grenats acclamés, où s’identifient et se parfondent les agencements des agréments et de leurs thuriféraires conditions amènes et symboliques, ne se dissipant de frimas, mais bien de l’adulation d’un rite aux visites parsemées franchissant le néant et ses invitations.
Afin d’œuvrer des terres fécondées par les huniers des vitalités exposées, édictées dans la félicité de gréements impérissables, par d’adroites conférences, où le langage trouve ses chemins de ronde, explore les mille et mille prouesses naturelles, par des articulations sans évasion dans les confusions des organdis, s’insérant dans la quiétude de toute renommée.
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DE FLORALE JOUVENCE
Vincent Thierry
Vincent Thierry
5 - I Voici des Royaumes sous le vent
37 - II S’en viennent les nefs cristallines
69 - III Du firmament, les alcôves
101 – IV Où la fertilité devise
133 – V La découverte des rameaux
165 - VI Et de leurs épanchements
197 – VII Dont les écheveaux se contemplent
229 – VIII Enhardis de florale jouvence
261 – IX Aux extatiques réminiscences
293 - Table
297 - Œuvres de Vincent Thierry
Vincent Thierry
France, Royan
Le 06/03/2022
France, Royan
Le 06/03/2022